Hey ! C’est mercredi et aujourd’hui, je vous parle de mon nouveau bébé : mon blog ! Créé avec amour par moi et par des contributeurs engagés, il arrive bientôt rassurez-vous, mais il a encore besoin d’un peu de temps pour paraître sous son meilleur jour. En attendant, voyons…

Mais oui, c’est le jour de découvrir le 3e indice ! Ça commence à devenir sérieux. Prêt(e) ? On y va !

 

INFO #3

Ce futur blog traitera, comme vous le savez, de 5 sujets qui me tiennent particulièrement à cœur dans la construction du monde de demain. La semaine dernière, je vous ai parlé de l’enfance et de la parentalité, et de ce que cela représentait pour moi.

 

Cette semaine, pour la deuxième fois en un an, il m’est arrivé une chose extraordinaire, ou bien complètement ordinaire, que je voulais vous raconter.

J’ai vu, au milieu de la route, un geai assommé par une voiture. J’ai fait demi-tour, je l’ai ramassé, mis à l’abri. Je lui ai donné à boire et je suis restée à ses côtés jusqu’à ce que je sois sûre qu’il aille bien. Il m’a regardé longuement, comme s’il savait exactement ce que j’étais en train de faire – et je suis persuadée qu’il le savait. Et puis, j’ai repris ma route, soulagée pour lui. Je n’étais même pas fière de moi, parce que faire tout ce que je pouvais pour cet oiseau était juste NORMAL.

J’aime penser que les deux oiseaux que j’ai sauvé cette année ont survécu pour de bon, qu’ils ont continué à voler, qu’ils ont eu des petits. Ce n’est pas grand chose, un oiseau. Mais au fond de moi, je me souviens d’une phrase : « Qui sauve une vie, sauve le monde entier. »

Eh bien cette semaine, j’aimerais aborder un sujet sans lequel je ne serais pas totalement moi-même… Vous l’aurez deviné.

L’environnement.

 

Ceux qui me connaissent bien savent à quel point écouter, aimer, protéger et prendre soin du monde qui m’entoure est important pour moi. Ceux qui me connaissent encore mieux ont pu découvrir que chez moi, c’est le paradis des animaux et des plantes vertes. Et ceux qui me connaissent intimement savent que, sans sortir dans la nature ou sans voir d’animaux, je meurs à petits (grands) feux.

Cet amour de la terre qui me porte et de tous ses habitants, je le porte en moi depuis toujours. J’ai un papa ébéniste qui m’a toujours appris à prendre soin de ce qu’on a entre les mains, à respecter l’être vivant qui nous a donné de quoi subsister, travailler, vivre. J’ai aussi une maman fan de champignons qui m’a appris à observer et prendre soin de ce qui pousse et de ce qui vit.

Comme beaucoup de personnes, j’ai pu découvrir au fil des années le mal que l’homme fait à cette terre qui ne lui appartient pas et qui pourtant le porte, l’abrite et le nourrit de générations en générations. Cette planète est un miracle que nous ne connaissons même pas, et pourtant elle est en train de mourir par notre faute.

 

Je ne souhaite pas, à travers ce blog, vous faire l’article de ce qui ne va pas. Des forêts ravagées, des espèces végétales disparues, des espèces animales éradiquées, des océans dévastés, et de tout ce qui est souffrance.

Je voudrais vous parler de ce qui est fait, maintenant, pour améliorer la situation, pour venir en aide, pour construire, reconstruire, soigner, faire autrement, trouver de nouvelles voies ou exhumer des choses oubliées.

De ce que vous pouvez faire, vous, pour protéger ce qui vous entoure.

Je voudrais vous dire à quel point la nature nous aime et montrer ce qu’elle peut faire pour nous si on sait l’écouter et l’aimer.

Je voudrais vous parler de ces petits riens qui, mis bout à bout, ont le pouvoir de changer le monde, et des magiciens au grand cœur et aux mains pleines de terre et du sang de ceux qu’ils sauvent, qui donnent le meilleur d’eux-mêmes et de l’homme, à leur échelle, pour que demain soit plus beau, plus juste et pour que l’existence de l’homme retourne à l’équilibre.

 

Envie d’en savoir plus ?

Rendez-vous très bientôt 🙂

 

… Et si vous voyez un être en détresse, vous savez quoi faire.

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *